Rouleau de printemps... d'été ☼.
J'arrive discrètement (tu y crois ?) car il me semble que mes articles sont aussi rares qu'une averse de fraises tagada et les copines qui m'enguirlandent ont rai-son, là !
Vous ♪ allez ♫ bien ?
Allez, je me lâche mais... paroles de fainéante.
Là c'était un essai de folle broderie sur un imprimé, avec aussi des rubans.
Mé, la folie m'aveuglant, j'ai repassé le tout comme une malade et les rubans déprimés furent aplatis et patati.
Bref, une Soeurbelle passant par là, tombe en extase devant ce spectacle aplati et patata.
Ouf !
Je lui confectionne donc un rouleau ce printemps, (mais voilà déjà l'été) bref ! En partant du joli petit modèle de Kérouézée.
Bien plus grand, pour faire une trousette.
Avec le flash, la lumière est olé olé mais les couleurs sont fidèles.
Un yoyo de chaque côté ; eux aussi ont eu chaud aux oreilles avec le repassage, mais ils s'en sont bien remis.
On a toujours besoin d'une petite pochounette à l'intérieur, des fois qu'on emporte un parapluie .
Un petit cordon (dondaine don don, ça faisait longtemps 😇) est cousu tout autour : fait avec des fils perlés DMC ;
et un bouton de récup hérité de ma moman d'une boate à boutons que je lorgnais étant môme et que je n'avais pas le droit de laisser choir sur le lino que ça fait du bruit mais le droit de jouer avec sans faire de raffut et tout ça sans virgule t'as vu ? hé hé.
Ahh lala ! Bon, le rouleau de la Soeurbelle est en de bonne mains et je me dépêche de vous montrer d'autres chichouilles, avant que la flemmarderie me reprenne.
Parlons d'argent.
Le deuxième fermoir à porte-monnaie de ma carrière.
Depuis le temps que je le couvais avec l'idée que "je l'aurai un jour..." ; bien c'est fait. Le premier là, était un peu tourmenté, j'avais raté le démarrage, mais il a été adopté quand même.
Deux petites dentelles pour trois francs six sous, cousues côte à côte.
Oups, c'est pas gagné ; les dessous sont pas chics. Pas moyen de faire mieux...
Le modèle vient de ce blog japonais (zut, il est fermé depuis qq temps) qui nous offre des tonnes de belles choses, même si on ne parle que le javanais ou le savoyard,
les photos des tutos sont internationales... Mais quand même, c'est parfois coriace pour s'y retrouver : en-fin.
Quand quelqu'un baille, tout le monde en fait autant.
C'est contagieux Pépita ?
Mais, voilà ! il y a un truc qui mempapaoute ; on voit la couture intérieure, vilaine comme tout et pour la cacher, tu peux toujours courir pour recoudre par-dessus le fourbis en métal.
Après réunion de chantier avec ma boîte à couture, j'achète une aiguille courbe, nanèère. Il faut des gants de boxe et une cotte de maille pour ne pas se traverser les doigts, car l'aiguille glisse à mort dans la main et part d'un coup : vlan !
Aïe ! Mais ça va à peu près.
Quelque points de chaînette cache-misère. Nan, j'y referai ja---mais ; le prochain (vi y'en a un) aura le fil assorti à la doublure et picétou.
Un petit coucou à Fée laure ; je lui avais promis de faire quelque photos de murs peints à Annecy.
Dans cette rue, devinez quoi ?
Des gens qui cabriolent sur le Mt Blanc, bien sûr.
L'ascention du Mt Blanc par Henriette d'Angeville ,
accompagnée de guides.
Courage M'dame vous êtes bientôt en haut...
Euh presque.
Ah, on savait s'amuser en ce temps-là hein ?
Oublie pas ta grande échelle échelle échelle échelle elle elle elle ...
Tonnerre de Brest !
Je me demande toujours comment font ces artistes pour peindre de si grands monuments.
Oui, comment ?
Une dernière photos ;
fleurettes du Semnoz où vont grimper samedi les coureurs du Tour.
Ils passent par chez nous.
Pas fous, ils montent moins haut que la dame du Mt Blanc.
A bientôt les belettes.
Passez un doux weekend et prenez soin de vous.