Fou fou fou !
Bonjour les grignettes !!!
Rhaa la la quelle vie ; un article tous les deux mois, et encore : quand je suis énervée
Bref ! J'ai une nouvelle folie : la broderie crazy. "Couwèzi" avec l'accent.
Fin-folle je vous dis, on ne peut plus s'arrêter. Bien sûr, je n'en suis qu'au début, il faudra encore des km d'entraînement avant d'arriver à faire comme les pros.
Je rééééssaye la broderie au ruban, car chaque fois que j'ai tenté c'était décevant : ça ressemblait à de la tartiflette. Maintenant, on dirait une tartine de confiote, mais ça progresse.
Un petit bout d'abord, juste pour voir.
Ah, mais c'est rigolo ; encore une tite fleur pis j'arrête. C'est pour faire une petite trousse ronde.
Vous voyez mes zolis yoyos ? ?
Hé non ; trop grands ! J'ai dû les redéfaire pour les ratiboiser, sinon ça aurait fait des roues de charette ; pas sexy pour ma future troussette tsss.
Oups, il ne fallait pas repasser les rubans comme une bête ; voilà, c'est tout flagada ménant.
Bon, je n'ai ps eu le courage d'en broder plus, alors on finalise la troussette.
Ahh, mes yoyos ont l'air moins tartignolles, à la bonne taille.
Evidemment dès qu'il faut calculer, aïe : même pas en rêve... (je hais les maths )
Joli bouton de nacre d'une série de six (pour 2 euros), trouvés dans un vide-grenier.
Voui, il manque un peu de broderie finalement. On verra pour la suivante.
C'est une troussette à bobinettes pouet pouet.
Faites pas attention, c'est l'hypoglycémie ; l'heure du thé approche,
avec un bon cassoulet, ça calme.
Les yoyos (ratiboisés) sont cousus au point de feston..................
........Tontaine bien sûr ; (vous savez que c'est plus fort que moi les radotages).
Là c'est avant le passage de la moissonneuses du fer fou qui a toutaplati.
N'empêche que c'est de la triche, puisqu'on brode sur un motif déjà fait .
Mais, ce que c'est marrant.
Bon, des nouvelles de nos petites poulettes qui couvaient, vous vous souvenez ? En fait ce sont des foulques. Ca fait un bout de temps que les bébés sont nés.
Je suis arrivée trop tard pour les voir ceux-là, ils étaient déjà partis.
A peine nés, plof ! Ils prennent le large.
♥♥♥
Et la deuxième poulette qui nichait (faut le faire) sur un truc flottant. On voit les fesses en l'air de mossieur qui plonge pour aller faire les courses.
Et bien les pauvres ont subit un orage du tonnerre de Zeus et le nid a failli benner ; il tient par ... rien du tout. Il y a au moins quatre oeufs sous la "foulquette" et le premier né à l'air de s'enquiquiner.
Il faut dire que ça usine : les parents se dépêchent de refaire le nid après l'orage. L'oeuf à côté est vide, on le voit quand il tourne.
Accroche-toi mon gros, ça tangue pendant le ravalement de façade de ton nid.
Et voilà deux jours plus tard ce que je découvre : plus rien !
Le nid s'est détaché et a disparu. La pluie que dis-je, ce temps de.. prout a tout ravagé ;
j'espère que le petit a survécu ?
Même celle-là a vraiment l'air penché.
Les pauvres foulques n'ont plus qu'à recommencer un nid...d'amour .
Ici, la vie est belle et les histoires d'eau
sont des histoires de poulettes.
A bientôt !
à tous !!