Qest-ce qu'on fait maintenant ?

Puisque le ventilo est rangé
jusqu'à la prochaine canicule...
...on peut enfin user des pistes cyclables du coin
sans se liquéfier à 35° à l'ombre....
...Quand y avait de l'ombre.

On peut partir au chant du corbeau pour voir se lever le soleil sur le bleu azuré et tout ça.
(Je ne veux pas m'esbaudir outre mesure sur ce lac annécien plutôt touristique, mais je l'aime bien quand même lui.)

Chercher un estaminet pour siroter un capoutchino avec vue sur la mer.

Se dire qu'on est pas à la mer.

Laisser nos trottinettes se reposer et faire semblant de trouver des champipis.

Mais aussi traîner des heueueueueures dans les vide-greniers et trouver enfin le casier d'imprimeur,
qu'on ne cherchait plus.

5 euros l'animal, c'est donné,
avec dans le fond, un beau papezing d'origine bien coincé sous les cases ;
découpé au cutère (en français) pour commencer.

Mais, interdiction de déclouer le fond sous peine de massacrer le bois,
les clous sont millésimés.
Se mâiller les ongles pour gratter le reste du papier
coincé sous les barres en bois.
Je préfèrerais refaire le toit de l'immeuble que continuer ça.

C'était pour participer quoi, bref j'ai laissé faire le pro et suis retournée à mon boutis, les zongles niqués oups, pique-niqués.
Après un ponçage du bois et un délicieux bain à la soude,
le reste du papier a rendu l'âme.

Patine acajou pour finir.
Voui, le fond est moche mais on laisse tomber;
finalement, on aurait pu le déclouer
pour lui faire un lifting à ce fond punaise, vu son profil.....
Bon, fallait pas.
Et puis, je vais devrais y mettre des broderies... Un de quatre après-midis... un de ces jours...à la st glin-glin.
BIEN-TÔT !!!
Allez, bonne semaine et soyez forts, va faire beau.
☼☼☼